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temoignage 1

Témoignage Mélissa

J’ai découvert le Pilates et l’approche de MLaure moins d’un an avant de tomber enceinte.

J’étais alors à la recherche d’une activité physique douce pour me remettre d’une vilaine sciatique et apprendre à gérer mon stress.

En apprenant ma grossesse, je me sentais déjà bien en confiance avec les cours et j’ai pu sereinement me projeter dans le fait que je pourrais continuer cette activité. Je redoutais même la période estivale où les cours allaient me manquer.

Je suis maintenant au 3eme trimestre, mon corps a bien changé, les sensations aussi. Et dans ma tête, l’ambivalence des émotions et des idées est très perturbantes.

Bref, c’est la tornade !

Je ressens énormément le besoin de mettre des mots, une logique, du sens sur cela. Pour moi c’est une étape pour me faire confiance, cette sacro sainte confiance que je dois trouver en moi car étant femme je suis « faite » pour ça, dixit les cours de prépas à l’accouchement !

         Mais en fait, j’ai quand même un peu l’impression de devoir trouver une aiguille ; ma confiance ; dans une meule de foin : changements du corps, maux de la grossesse, labilité des émotions, deuil de ma vie d’avant à faire, etc

        Et là, j’arrive au cours de MLAure, on se pose et je me cale sur sa voix .

        Je ressens mon corps pendant une heure, évoluant sur les mouvements, en douceur.

        Dans ces mouvements, il y a un espace et un temps pour lui.

      Et alors, c’est pas les autres (famille, amis, médecins, sage femme) qui disent, expliquent, mesurent comptent sur mon corps non. Là, c’est mon corps qui me parle directement : « tu vois là, ça, ça fait du bien » « ah ça ça tire un peu mais attends, tu vois finalement ça passe » « ah non là ça va pas » ...

        Je me recentre, vraiment, je comprends, je ressens enfin ce que ça veut dire !

      Les émotions, les idées sont en pause, dans une partie de mon cerveau qui ayant un peu lâcher prise sur le contrôle du corps, peut traiter ça tranquillement dans son coin. Un peu comme quand on dort, le cerveau range.

         Quand je ressors du cours, je me sens plus légère, reconnectée à moi même dans mon corps et dans mes idées,

         Et je me dis : « Bon, bah … ça va le faire hein ! » 

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